Roller coaster
C'est à ça que ressemble les journées avec mon zèbre second, un roller coaster émotionnel qui me vide, m'épuise. Je crois être encore sur la pente ascendante que non, c'est la dégringolade, on remonte un peu, mais non, pouf, encore en chute libre. La seule certitude c'est qu'à un moment donné ça ira forcément plus bas.
Pour être autant en mode râlerie, ronchonnade, agression, "rien ne va" ou pour le citer "c'est trop débile" c'est qu'il ne doit pas aller bien fort. Le contraste, là à l'inverse de la semaine d'absence de son frère, est trop flagrant pour qu'on puisse l'ignorer.
Mais quoi et surtout comment l'aider à retrouver sourire et entrain ?
Et puis à force de monter, descendre, monter, descendre, j'ai le tournis, et l'estomac qui nencaisse plus à force de trop le faire... comme dirait Le roi des Papaps dans sa chanson ("Le manège") : je crois que je vais vomiiiiiiiir.
Pour être autant en mode râlerie, ronchonnade, agression, "rien ne va" ou pour le citer "c'est trop débile" c'est qu'il ne doit pas aller bien fort. Le contraste, là à l'inverse de la semaine d'absence de son frère, est trop flagrant pour qu'on puisse l'ignorer.
Mais quoi et surtout comment l'aider à retrouver sourire et entrain ?
Et puis à force de monter, descendre, monter, descendre, j'ai le tournis, et l'estomac qui nencaisse plus à force de trop le faire... comme dirait Le roi des Papaps dans sa chanson ("Le manège") : je crois que je vais vomiiiiiiiir.