Soleil, parc et pollens
Encore du beau temps que nous avons savouré (ou "tenté de" en ce qui me concerne) cet après-midi.
Direction le Parc Bachelard, que les garçons aiment bien, la zébrette donnant consciencieusement la main jusqu'à l'arrêt de bus puis de l'autre arrêt de bus au parc. Une pipelette que cette demoiselle, elle a fait marrer une dame dans le bus qui l'entendait tout commenter... comme ses frères quoi :)
Arrivés au parc, ça se corse : la demoiselle veut aller au bateau pirate, ses frères à la tortue... un qui part à gauche, l'autre à droite, la troisième au milieu... ARGH ! On finit par trouver un compromis : la tortue... pour commencer. PZ3 et moi nous éloignons un peu vers l'aire de jeu proche puis au bout d'un long moment, fatiguée de la porter pour monter jusqu'à la poutre qui permet d'accéder au toboggan je lui propose de jouer au ballon sur l'herbe. Je pose le sac à dos, mon sac à main, je sors des affaires pour accéder au ballon convoité, elle joue, et puis voit au loin le bateau pirate et commence à s'éloigner sans autre formalité (faut dire qu'elle patientait depuis un moment déjà). Je remballe tout vite fait, récupère tant bien que mal les zèbres au passage et toute la petite troupe se dirige cahin-caha vers le bateau. C'est plein de monde, les zèbres ne sont pas contents, je suis fatiguée de courir, gênée par les pollens merci le nez qui coule, les yeux qui pleurent et collent à la fois, la gorge qui gratte - on va se poser sur une petite butte où il pourront faire "la pomme de pin" tout en goûtant (enfin, après avoir goûté). J'ai encore l'appareil photo à la main, je veux le ranger pour sortir le pain à la banane, je cherche dans la petite poche du sac à dos : rien. Dans l'autre petite poche : rien. Dans la troisième : rien non plus. J'ouvre le sac à dos, fouille, le vide, rien. Rien non plus dans mon sac à main. La poisse. J'ai du faire tomber ou oublier l'étui là où la zébrette et moi avons joué dans l'herbe. Et hop la troupe, changement de plan, on retourne là-bas. Entre temps la zébrette s'est sauvée pour retourner au bateau pirate, il faut la rattraper. Et argumenter avec les zèbres qui trouvent finalement que le bateau pirate, c'est pas une si mauvaise idée. Rhaaa ! Je porte la zébrette pour aller plus vite, j'essaie de me souvenir du contenu de l'étui : toutes les cartes mémoire ? Des piles ? Les zèbres marchent vite et ont bien compris à mon allure que je n'ai pas envie de rigoler. Du tout. J'arrive à l'endroit où javais déballé le contenu du sac pour sortir le ballon. Je regarde. Rien. Flûte. Peut-être que je l'ai fait tomber à l'aire de jeu toute proche ? Je quitte la partie gazonnée et me dirige vers l'aire de jeu. Un type, que je ne connais ni d'Eve, ni d'Adam, assis au milieu de vélos me fait un énorme sourire, agite les bras et me dit "par ici !". Le lourd, purée, c'est bien ma veine, manquait plus que ça, j'ai pas de temps à perdre avec ce genre de conner trucs là, c'est bien assez contrariant d'avoir égaré l'étui. Je l'ignore et puis voilà. Je fais le tour de l'aire de jeu, envoie les zèbres regarder à la tortue. Rien. Je contine jusqu'à l'arbre dont j'ai pris les fleurs en photo. Rien. Je fais demi-tour et je vois "le lourd" au t-shirt vert debout, agitant les bras au bout d'un desquels se trouve... l'étui que je cherche. Hmmm. Je fonce à sa rencontre, soulagée. Il paraît qu'il m'a fait signe tout à l'heure mais que j'ai du croire qu'il me draguait, alors que non non, je pensais simplement qu'il faisait signe à quelqu'un derrière moi et merci beaucoup.
Oui, penaude je suis.
Là dessus, on s'est posé tous les quatre, on a mangé et comme le soleil s'était caché, que j'avais froid et que les pollens me gênaient vraiment beaucoup, nous sommes rentrés.
Avec l'appareil photo soigneusement rangé dans son étui, lui même bien mis dans la petite poche du sac à dos.
Direction le Parc Bachelard, que les garçons aiment bien, la zébrette donnant consciencieusement la main jusqu'à l'arrêt de bus puis de l'autre arrêt de bus au parc. Une pipelette que cette demoiselle, elle a fait marrer une dame dans le bus qui l'entendait tout commenter... comme ses frères quoi :)
[photos à venir]
Arrivés au parc, ça se corse : la demoiselle veut aller au bateau pirate, ses frères à la tortue... un qui part à gauche, l'autre à droite, la troisième au milieu... ARGH ! On finit par trouver un compromis : la tortue... pour commencer. PZ3 et moi nous éloignons un peu vers l'aire de jeu proche puis au bout d'un long moment, fatiguée de la porter pour monter jusqu'à la poutre qui permet d'accéder au toboggan je lui propose de jouer au ballon sur l'herbe. Je pose le sac à dos, mon sac à main, je sors des affaires pour accéder au ballon convoité, elle joue, et puis voit au loin le bateau pirate et commence à s'éloigner sans autre formalité (faut dire qu'elle patientait depuis un moment déjà). Je remballe tout vite fait, récupère tant bien que mal les zèbres au passage et toute la petite troupe se dirige cahin-caha vers le bateau. C'est plein de monde, les zèbres ne sont pas contents, je suis fatiguée de courir, gênée par les pollens merci le nez qui coule, les yeux qui pleurent et collent à la fois, la gorge qui gratte - on va se poser sur une petite butte où il pourront faire "la pomme de pin" tout en goûtant (enfin, après avoir goûté). J'ai encore l'appareil photo à la main, je veux le ranger pour sortir le pain à la banane, je cherche dans la petite poche du sac à dos : rien. Dans l'autre petite poche : rien. Dans la troisième : rien non plus. J'ouvre le sac à dos, fouille, le vide, rien. Rien non plus dans mon sac à main. La poisse. J'ai du faire tomber ou oublier l'étui là où la zébrette et moi avons joué dans l'herbe. Et hop la troupe, changement de plan, on retourne là-bas. Entre temps la zébrette s'est sauvée pour retourner au bateau pirate, il faut la rattraper. Et argumenter avec les zèbres qui trouvent finalement que le bateau pirate, c'est pas une si mauvaise idée. Rhaaa ! Je porte la zébrette pour aller plus vite, j'essaie de me souvenir du contenu de l'étui : toutes les cartes mémoire ? Des piles ? Les zèbres marchent vite et ont bien compris à mon allure que je n'ai pas envie de rigoler. Du tout. J'arrive à l'endroit où javais déballé le contenu du sac pour sortir le ballon. Je regarde. Rien. Flûte. Peut-être que je l'ai fait tomber à l'aire de jeu toute proche ? Je quitte la partie gazonnée et me dirige vers l'aire de jeu. Un type, que je ne connais ni d'Eve, ni d'Adam, assis au milieu de vélos me fait un énorme sourire, agite les bras et me dit "par ici !". Le lourd, purée, c'est bien ma veine, manquait plus que ça, j'ai pas de temps à perdre avec ce genre de conner trucs là, c'est bien assez contrariant d'avoir égaré l'étui. Je l'ignore et puis voilà. Je fais le tour de l'aire de jeu, envoie les zèbres regarder à la tortue. Rien. Je contine jusqu'à l'arbre dont j'ai pris les fleurs en photo. Rien. Je fais demi-tour et je vois "le lourd" au t-shirt vert debout, agitant les bras au bout d'un desquels se trouve... l'étui que je cherche. Hmmm. Je fonce à sa rencontre, soulagée. Il paraît qu'il m'a fait signe tout à l'heure mais que j'ai du croire qu'il me draguait, alors que non non, je pensais simplement qu'il faisait signe à quelqu'un derrière moi et merci beaucoup.
Oui, penaude je suis.
Là dessus, on s'est posé tous les quatre, on a mangé et comme le soleil s'était caché, que j'avais froid et que les pollens me gênaient vraiment beaucoup, nous sommes rentrés.
Avec l'appareil photo soigneusement rangé dans son étui, lui même bien mis dans la petite poche du sac à dos.